Stéphane Poussier y apología del terrorismo

El gendarme Arnaud Beltrame reemplazó voluntariamente a uno de los rehenes en un atentado terrorista yihadista en Francia y murió asesinado el día 24 de marzo de 2018, en una muerte heroica que conmocionó a su país, y que también nos conmocionó y nos reconcilió con la condición humana a otros que no somos franceses. Poco después, Stéphane Poussier, excandidato del partido o plataforma política de izquierdas La France Insoumise en las elecciones legislativas de 2017, publicó dos tuits en los que se felicitaba o ironizaba sobre esa muerte. Con fecha 27 de marzo de 2018 Stéphane Poussier fue juzgado, en el aproximadamente equivalente a un juicio rápido, y condenado por apología del terrorismo a un año de prisión con suspension de condena y siete años de privación de derechos civiles. Su propio partido se desmarcó de esos tuits, anunció que iba a denunciar a Stéphane Poussier por apología del terrorismo y al tuitero lo ha expulsado de inmediato. En cuanto al tuitero condenado, reconoció que había actuado de forma irracional, anunció que no recurriría la sentencia, que aceptaba plenamente, y presentó excusas a la familia del gendarme asesinado.

Transcribo lo que al respecto ha publicado Le Figaro:

«Candidat malheureux de La France insoumise aux législatives en 2017, il avait écrit sur Twitter: «À chaque fois qu’un gendarme se fait buter (…) je pense à mon ami Rémi Fraisse», un jeune militant écologiste tué en 2014 par une grenade tirée par un gendarme dans le sud-ouest de la France. «Là, c’est un colonel, quel pied! Accessoirement, encore un électeur de Macron en moins», avait-il ajouté. Ses remarques ont provoqué de vives réactions sur Twitter, et son compte a été désactivé. Les tweets ont été condamnés par son ancien mouvement, la France Insoumise et par son leader Jean-Luc Mélenchon. Poussier a été exclu du parti samedi.«

Transcribo lo que al respecto ha publicado Le Monde:

«Apologie du terrorisme : l’ancien candidat de La France insoumise Stéphane Poussier condamné à un an de prison avec sursis

L’ancien candidat de La France insoumise s’était réjoui de la mort vendredi du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame lors des attaques dans l’Aude.

Stéphane Poussier est condamné à un an de prison avec sursis, et se voit privé de ses droits civiques pendant sept ans. L’ancien candidat La France insoumise (LFI) aux élections législatives, Stéphane Poussier était jugé en comparution immédiate pour apologie du terrorisme, mardi 27 mars après-midi, au tribunal de grande instance de Lisieux. Le procureur avait requis six mois de prison, dont deux mois ferme.

Il s’était félicité, dans des publications sur Twitter et Facebook, de la mort du lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame, qui avait pris la place d’une otage lors de l’attaque du supermarché de Trèbes (Aude) vendredi et avait été tué par l’assaillant. Alors qu’Arnaud Beltrame est unanimement salué comme un héros, qu’un hommage national lui sera rendu mercredi et que les députés ont observé mardi une minute de silence à sa mémoire, ces messages publiés sur les réseaux sociaux ont provoqué un tollé.

LFI a exclu Stéphane Poussier de ses rangs, envisageant même de porter plainte contre lui, d’après les mots de son leader Jean-Luc Mélenchon.

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Mardi au tribunal, Stéphane Poussier a présenté ses excuses à la famille d’Arnaud Beltrame. « J’ai réagi de manière irrationnelle », a-t-il dit. «
Transcribo lo que al respecto ha publicado Le Parisien:
«Apologie du terrorisme : un an de prison avec sursis pour l’ex-candidat LFI Stéphane Poussier.
Interpellé dimanche pour avoir publié deux tweets se félicitant de la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, Stéphane Poussier était jugé ce mardi en comparution immédiate.
Samedi dernier, Stéphane Poussier s’était félicité sur Twitter de la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, tué lors de l’attaque terroriste de Trèbes. Des tweets qui ont provoqué indignation et écœurement. Interpellé et placé en garde en garde à vue dès dimanche matin, cet ex-candidat de la France Insoumise (LFI) aux législatives de juin dans le Calvados a été jugé ce mardi à Lisieux (Calvados), en comparution immédiate, et a écopé d’un an de prison avec suris.
Poursuivi pour apologie d’un acte de terrorisme, Stéphane Poussier a été condamné après deux heures d’audience. Le tribunal l’a également privé de ses droits civiques et civils pendant sept ans. Dans son délibéré, le président Lionel Da Costa Roma a estimé que le prévenu avait diffusé « des messages sans équivoque » sur l’attentat survenu le 23 mars dernier. Sur son compte Twitter, l’ancien candidat LFI a présenté la mort du lieutenant-colonel Beltrame, tué lors de l’attaque, « de façon positive, voire très positive», a souligné le magistrat.
«L’apologie du terrorisme n’est, pas plus que le négationnisme, une opinion. C’est un délit », a tranché David Pamart, pour le parquet. Le procureur de la république avait requis six mois de prison, dont quatre avec sursis, à l’encontre du prévenu. A la sortie de l’audience, Stéphane Poussier a déclaré qu’il ne fera pas appel de la décision. Le parti de Jean-Luc Mélenchon s’était aussitôt désolidarisé de Poussier, et de ses propos qualifiés «d’abjects et honteux».
«C’était inapproprié et cruel pour la famill»
Dans l’un de ses tweets, le prévenu de 61 ans s’était notamment vanté de «prendre son pied» suite au meurtre du militaire. Mardi, Stéphane Poussier s’est pour la première fois excusé : «C’était inapproprié et cruel pour la famille, les proches et les collègues d’Arnaud Beltrame.» Pour autant, ce mea culpa n’a pas convaincu le tribunal. Lors de sa garde à vue, le sexagénaire avait été «beaucoup plus revendicatif», a rappelé Lionel Da Costa Roma. Stéphane Poussier avait assumé sa «haine froide» des gendarmes. Pour son avocate, il s’agissait alors «d’une simple opinio» qui relève davantage de la liberté d’expression.»

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«L’apologie du terrorisme n’est, pas plus que le négationnisme, une opinion. C’est un délit», a tranché David Pamart, pour le parquet. Le procureur de la république avait requis six mois de prison, dont quatre avec sursis, à l’encontre du prévenu. A la sortie de l’audience, Stéphane Poussier a déclaré qu’il ne fera pas appel de la décision. Le parti de Jean-Luc Mélenchon s’était aussitôt désolidarisé de Poussier, et de ses propos qualifiés «d’abjects et honteu ».»

Transcribo lo que al respecto ha publicado Huffingtonpost:
«Stéphane Poussier, ex-candidat Insoumis, condamné à un an de prison avec sursis pour «apologie du terrorisme»
Il avait publié deux tweets le jour de la mort du gendarme héroïque.
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«JUSTICE – L’ancien candidat de la France insoumise (LFI) aux législatives du Calvados, Stéphane Poussier, a été reconnu coupable d’apologie du terrorisme et condamné ce mardi 27 mars à un an de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Lisieux, rapporte l’AFP, confirmant l’information de plusieurs médias dont BFMTV et France 3. Il a fait l’objet d’une comparution immédiate.

 Il avait été interpellé dimanche à 11h30 à son domicile de Dives-sur-Mer, dans le Calvados, pour avoir publié samedi deux tweets se félicitant de la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, tué après s’être substitué à un otage dans l’attaque terroriste du supermarché de Trèbes.
 

Candidat malheureux de La France insoumise dans la 4e circonscription du Calvados, Stéphane Poussier, 60 ans, avait écrit sur Twitter: «À chaque fois qu’un gendarme se fait buter (…) je pense à mon ami Rémi Fraisse», un jeune militant écologiste tué en 2014 par une grenade tirée par un gendarme.

 «Là, c’est un colonel, quel pied! Accessoirement, encore un électeur de Macron en moins», avait-il ajouté. Ses remarques ont provoqué de vives réactions sur Twitter, et son compte a été désactivé.
Liberté d’expression

D’après son avocate Floriane Gabriel, citée par France Bleu Calvados-Orne, «Monsieur Poussier se prévaut de la liberté d’expression et d’opinion et il conteste la qualification d’apologie du terrorisme.»

Invité à expliquer son geste, Stéphane Poussier, qui a une condamnation à son casier judiciaire pour non paiement d’une pension alimentaire en 2000, a déclaré à la barre: «J’étais en colère qu’il y ait une telle unanimité. Je voulais me différencier de cette unanimité». Le prévenu a aussi évoqué des moments d'»irrationalité» depuis une opération chirurgicale qu’il a subie en 2017.

Cet ancien commercial dans la téléphonie, aujourd’hui au RSA, a indiqué à la presse après sa condamnation qu’il ne ferait «pas appel» de ce jugement qu’il dit «accepte(r) pleinement». À la barre, comme devant la presse, il s’est excusé à plusieurs reprises auprès des proches et des collègues du gendarme pour ses propos «cruels».

Le tribunal a considéré que ces tweets contenaient une «présentation favorable voire très favorable» des «conséquences d’un acte terroriste», a indiqué son président Lionel Da Costa Roma. «C’est une expression publique qui tombe sous le coup de la loi» y compris au regard de la convention européenne de droits de l’homme, a ajouté le magistrat. Le tribunal a toutefois tenu compte du «caractère très limité dans le temps, ponctuel» de ces propos.

Les tweets ont été condamnés par son ancien mouvement, La France insoumise, et par son leader Jean-Luc Mélenchon. Selon LFI, Stéphane Poussier a été exclu du parti dès samedi. «Lundi La France insoumise veut porter plainte pour apologie du terrorisme contre Stéphane Poussier», a indiqué dimanche Jean-Luc Mélenchon sur son compte Twitter.»

Durant l’audience mardi le procureur de la République David Pamart avait requis une peine plus importante que celle décidée par le tribunal: six mois de prison dont quatre avec sursis. La peine maximale encourue pour ce type de délit est de 7 ans de prison et de 100.000 euros d’amende.»

 

Otro resumen en Actu.

Enlace al tuit de Melénchon en relación con Stéphane Poussier: «Lundi la @franceinsuomise veut porter plaite por apologie du terrorisme contre Stephane Poussier».

 

Hasta aquí las noticias sobre el caso Stéphane Poussier, con una selección de enlaces a medios de comunicación franceses.

Y ahora volvamos a España.

Cualquiera que frecuente las redes sociales sabe que tuits parecidos, y mucho peores, a los del Sr. Poussier son relativamente frecuentes en España. Y sabe también que cada vez que se persigue penalmente a un tuitero por ello las redes sociales arden, como tópicamente se dice, diciendo en tono más o menos moderado o agresivo lo que ya a estas alturas es para algunos sectores un mantra: que España es un país fascista vergüenza de Europa, que la Audiencia Nacional es ni mas ni menos que el franquista Tribunal de Orden Público redivivo, y que no solo es inadmisible que se persiga a nadie como apología del terrorismo, porque el propio delito es sin más inaceptable, sino que es inadmisible que se persiga por cualquier otro posible delito relativo a libertad de expresión, la cual, dicen, carece de límites de todo tipo más allá de la propia voluntad individual de decir lo que cada cual tenga a bien decir según su santísima voluntad, y que ello no ha de generar responsabilidades civiles o penales de ningún tipo, y que sostener lo contrario es totalitario, franquista, contrario a los derechos humanos y/o fascista. En Francia se ha puesto bajo custodia policial, juzgado y condenado en unos días por apología del terrorismo a un tuitero que incluso había sido candidato a las elecciones legislativas, por un delito, según las noticias, y el propio partido del tuitero no solo no lo apoya sino que habla de denunciarlo, y el propio tuitero ha pedido perdón y ha anunciado que no recurre la sentencia, mientras que aquí prefiero no pensar qué pasaría en caso análogo, aunque en realidad no tengo ni que pensarlo, que ahí están casos y las reacciones de todos conocidos. ¿O también es Francia un país totalitario, franquista, contrario a los derechos humanos y/o fascista? ¿Y La France Insoumise también es totalitaria, franquista, contraria a los derechos humanos y/o fascista? ¿Y es un idiota el propio tuitero por reconocer que había actuado irracionalmente, presentar excusas y no recurrir? ¿En serio que hay que suprimir en España el delito de apología del terrorismo o delito análogo y cualquier otra persecución contra la expresión pública de ideas? ¿En serio que da todo igual?

¿O quizá es que no da todo igual, a la vista del caso del Sr. Poussier y de como en Francia esas actuaciones se consideran inaceptables y rechazables y se ve con naturalidad, incluso por quienes son próximos ideológicamente, que puedan ser perseguibles penalmente? Ahí lo dejo.

Y, por cierto, si en Francia es posible perseguir y condenar en apenas unos días por apología del terrorismo, y por un tribunal de zona, quizá aquí no necesitemos una Audiencia Nacional dedicada a perseguir tuiteros y con meses o años de juicios. Y aunque solo sea por motivos de coste económico; que los juicios no son gratis para el Estado y no sobra precisamente el dinero en la Administración de Justicia como para dedicar un tribunal de ámbito estatal años o meses a que tramite un carísimo pleito penal por un par de tuits.

Verónica del Carpio Fiestas

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Acerca de Verónica del Carpio Fiestas

Abogada desde 1986. Colegiada ICAM nº 28.303 Profesora de Derecho Civil en el Departamento de Derecho Civil UNED desde 1992 Despacho profesional: C/ Santísima Trinidad, 30, 1° 5, 28010 Madrid (España) Tf. (+34) 917819377 e-mail veronica@delcarpio.es En Twitter @veronicadelcarp
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4 respuestas a Stéphane Poussier y apología del terrorismo

  1. Jordi dijo:

    Se trata de algo tan sencillo como el respeto hacia el otro, pero es que en España entre partidos cada vez el tú mas. Otro tema es que el respeto hay que ganárselo y más si eres una persona pública, lo dejo aquí.

  2. Mony dijo:

    Parece que la diferencia entre Francia y España sigue siendo la misma que en aquellos años en los que teníamos que pagar 14 pesetas por 1 franco. Y lo digo tanto por las leyes (pena aplicada y suspendida) y la administración de justicia (rapidez y eficacia) como por los partidos políticos (condena y expulsión inmediata) y sus representantes (posicionamiento rápido y contundente). Creo que nunca les alcanzaremos.

  3. José Carlines dijo:

    Continúo la frase cortada: Sí, en serio que hay que suprimir en España el delito de apología del terrorismo o delito análogo y cualquier otra persecución contra la expresión pública de ideas. Por que todo da igual? No, no da igual, las expresiones pueden ser molestas, insultantes, y esto no es agradable, pero no debería ser delito, porque la disidencia intelectual no debe ser castigada penalmente.

  4. José Carlines dijo:

    No puedo evitar comentar, aunque preveo que mi comentario no se publicará. Lo dirijo, al menos a la autora con el fin de que conozca otras opiniones alternativas.
    En primer lugar, la libertad de expresión es sagrada, porque cualquier matización que hagamos a la misma se volverá contra nosotros, rebajando su amplitud hasta hacerla desaparecer como derecho. Sus únicos límites son la comisión paraja de delitos reales o la inducción efeciva y consciente a los mismos.
    En segundo lugar, Francia no es ya un modelo para la democracia. Sigue el mismo camino de derechización y noeliberalización que nuestro país. Por tanto, lo que allí se apruebe puede ser tan injusto como aquí.
    Tercero: Francia insumisa, como Podemos, son dos partidos terriblemente empeñados en ser políticamente correctos y en no molestar a nadie, con el fin de conseguir el mayor número de votos moderados, lo que justamente hace que sean iguales que todos (lo que es una triste pena)
    Cuarto: La deriva derechista y hasta fascista de nuestro estado (lo dice una persona sorprendentemente moderada en sus gestos en la vida cotidiana) y cada vez con más frecuencia de nuestros jueces, son tan obvias que alarman. Aun si dudáramos de la aplicación de los delitos de odio o de apología del terrorismo, nos seguiría llamando la atención la perversa asimetría con la que fiscalía y jueces ignoran, disculpan o absuelven tales delitos cuando provienen de un lado bien específico (ultraderechistas, franquistas, pro-nazis) y el ardor y la rigurosidad con la que actúan frente a los que podríamos llamar «radicales» o «alternativos» de izquierdas, anarquistas o inclasificables progresistas.
    El juzagado alude a una experiencia negativa en la que un compañero murió a manos de un policía: es normal que odie, el odio es un sentimiento humano. Ese odio puede ser insultante, o incluso insoportable para la familia, e incluso para nosostros los observadores, pero no debería ser nunca un delito una expresión derivada de un sentimiento que no incita efectivamente al crimen ni lleva pareja una acción delictiva. Sería tanto como condenar la posibilidad de tener y expresar determinados sentimientos, lo que resulta, a mi modo de ver, intolerable.
    También muestra el interdicto que actuó en nombre de un sentimiento diferenciador que yo comprendo (A la gente no gusta que, uno tenga su propia fe)
    Finalmente, el propio tuitero que se retracta no es más que alguien acobardado por el poder penal de la justica, que amenaza con arrebatarle su valiosa libertad. De nuvo uno tiene que doblegar sus creencias si quiere ser aprobado por el sistema y sobrevivir al mismo.
    En resumen y (como creo que ya habrá quedado claro) desde el punto de vista de un lego en la materia, la libertad de expresión debería ser tan sagrada al menos y defendida con tanto ahínco como el artículo 155 de la Constitución.
    Curiosamente, la Ley parece muy tolerante, generosa u olvidadiza contra empresas, instituciones y grandes actores del Estado, la economía y la política, y tremendamente estricta, rigurosa y ejemplar contra determinadas conductas individuales o colectivas que desean apartarse de los estándares que aquellas imponen. Solamente con determinadas, al parecer.
    Contesto a la pregunta lanzada: En serio, creo que

    Gracias por escuchar. Un saludo cordial.

    P.S.: Por cierto, no creo que sea una locura irracional que alguien pueda pensar que «…la Audiencia Nacional no es ni mas ni menos que el franquista Tribunal de Orden Público redivivo…»
    Con lo cual debo convenir por completo en la última frase del artículo. No es necesario utilizar a la Audiencia Nacional para temas cómo este y, añadiría, seguramente para ningún otro. Las razones económicas serían solamente ventajas adicionales.

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